Mon roman « Les Silences », publié initialement en langue italienne, paraît en février 2023 aux Editions Finitude (traduction J. Incardona). Il est également disponible en géorgien.
Ida, une orpheline de treize ans, est placée en famille d’accueil dans un village de montagne isolé. Elle porte un lourd secret, mais découvre que le village en cache bien d’autres.
Ida, une orpheline de treize ans, est placée en famille d’accueil dans un village de montagne isolé. Elle porte un lourd secret, mais découvre que le village en cache bien d’autres.
L'auteur
Je suis né à Lugano, dans la partie italophone de la Suisse. J’ai appris le français alors que j’étais encore petit, et depuis une quinzaine d’années j’habite à Neuchâtel, en Suisse romande, où je travaille comme enseignant.
Ma passion pour la littérature est née grâce à la découverte d’une collection de vieux livres de poche dans la bibliothèque de mes parents. Les couvertures étaient fades, les pages se décollaient et la police était minuscule. Mon père s’en souvenait à peine, il les avait achetés au kiosque près de son école pour une poignée de lire alors qu’il était ado. J’ai donc commencé par les classiques (Hemingway, Miller, …) mais je suis rapidement devenu un lecteur éclectique. Puis, à mes 24 ans, après avoir dévoré un énième roman (Fight Club de Pahlaniuk, sauf erreur), je me suis retrouvé assis devant mon ordinateur, poussé par l'envie d'écrire une histoire. Ce fut le début d’un long et enrichissant apprentissage. J’ai aussi décidé de m’intéresser davantage à l’étude de la littérature – ce qui m’a emmené à écrire une thèse sur Henry Miller. Depuis, j'ai publié deux romans, plusieurs textes pour des magazines ou des anthologies, et j'ai collaboré à l'écriture de scénarios.
Ma passion pour la littérature est née grâce à la découverte d’une collection de vieux livres de poche dans la bibliothèque de mes parents. Les couvertures étaient fades, les pages se décollaient et la police était minuscule. Mon père s’en souvenait à peine, il les avait achetés au kiosque près de son école pour une poignée de lire alors qu’il était ado. J’ai donc commencé par les classiques (Hemingway, Miller, …) mais je suis rapidement devenu un lecteur éclectique. Puis, à mes 24 ans, après avoir dévoré un énième roman (Fight Club de Pahlaniuk, sauf erreur), je me suis retrouvé assis devant mon ordinateur, poussé par l'envie d'écrire une histoire. Ce fut le début d’un long et enrichissant apprentissage. J’ai aussi décidé de m’intéresser davantage à l’étude de la littérature – ce qui m’a emmené à écrire une thèse sur Henry Miller. Depuis, j'ai publié deux romans, plusieurs textes pour des magazines ou des anthologies, et j'ai collaboré à l'écriture de scénarios.
Le livre
Se taire, ne jamais se mêler des affaires des autres, voilà la règle qui prime dans ce village au cœur des montagnes, et permet à chacun de cultiver consciencieusement son lot de rancœurs et de préjugés. Quand Emil a disparu, personne n’a rien dit, bien sûr, les langues sont restées liées. Et quand l’orpheline, la jeune Ida, a été placée chez les Hauser, on se doutait bien que la vie serait difficile pour elle.
En butte à la haine de la fermière et aux regards libidineux de son mari, la jeune fille ne peut compter que sur son amitié clandestine avec Noah, un adolescent qui rêve d’ailleurs. Il réussit à la convaincre qu’elle aussi a droit à sa part de bonheur, mais il est trop tard. Ils ne parviendront, bien malgré eux, qu’à déclencher malheurs et drames, à faire remonter à la surface toute la boue de secrets et de non-dits du village.
En butte à la haine de la fermière et aux regards libidineux de son mari, la jeune fille ne peut compter que sur son amitié clandestine avec Noah, un adolescent qui rêve d’ailleurs. Il réussit à la convaincre qu’elle aussi a droit à sa part de bonheur, mais il est trop tard. Ils ne parviendront, bien malgré eux, qu’à déclencher malheurs et drames, à faire remonter à la surface toute la boue de secrets et de non-dits du village.